TRANS
Les poignets
attachés au dessus de la tête au clou du cadre de ma communion, j’ai une vision plongeante de mes seins
tendus aux bouts maintenant proéminents, de mon ventre plat et lisse jusqu’aux lèvres enflées qui attendent
qu’on les sépare pour s’épanouir largement. Elle saisit mes chevilles et les ligote à chaque extrémité du
divan, je ne peux réprimer un gémissement lorsque mon sexe s’écartèle spontanément. Tous mes muscles tendus,
je me cambre vers l’arrière en essayant vainement de resserrer mes cuisses mais je ne fais que lui offrir
davantage le plus profond de mon intimité. Maintenant, je me fous que quelqu’un regarde par la fenêtre, je
n’ai qu’un désir : combler ce trou béant. Ma tête tourne dans tous les sens mais je n’ose ouvrir les
yeux car je devine le tableau que je suis en train de lui offrir ; enfin, je sens un doigt qui se glisse
en moi, me fouille, me triture ; mon corps raidi se décolle du divan et pendant qu’une onde de chaleur
me monte à la tête, un violent tremblement descend de mon ventre jusqu’aux pieds, provocant des secousses si
intenses que mon intérieur explose en projetant de longues coulées incandescentes. Comme un serpent, je me
tortille dans tous les sens, mais en cherchant toujours un contact plus profond avec ce ou ces doigts qui me
pénètrent et puis c’est la déflagration foudroyante qui m’emplit la tête d’un feu d’artifices
multicolores.
Epuisée, je retombe
dans le divan, mon cœur bat à du 200 à l’heure ; de la tête au pieds, d’intenses spasmes incontrôlables
me secouent encore, tandis que je sens comme une rivière
coulante entre mes fesses. J’ouvre péniblement les yeux et
contemple sans fausse honte mon sexe fendu d’où émerge un bouton turgescent. Jamais je n’avais joui aussi
vite et aussi puissamment !
- Je t’aime ! soufflais-je passionnément à Cristel qui me fixe en
souriant.
- Je t’aime aussi mais tu as été trop pressée, dit-elle moqueuse, je n’ai pas encore eu le temps de manger ma banane ! Attends !SUITE..
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